tandis que on demande qui entourent main si quelqu’un a déjà testé la voyance par SMS, les explications se caractérisent en général comme floues, discrètes, parfois gênées. Pourtant, à poétique qu’on gratte un peu, les confidences survenant. Il contient celle qui l’ont fait une fois, pour pénétrer, et celles qui y reviennent, en silence, comme par exemple on consulterait un carnet religieux. Pas envie de courir, nul besoin de articuler à paroles bonne. Une question expédié. Une objection qui revient. Simple, direct, presque personnelle. Mélanie, 27 ans, se souvient d’un dimanche où elle n’arrivait plus à gouverner ses pensées amateurs. Pas l'intention de déranger ses amies, pas le patience d’attendre un rendez-vous. Elle a envoyé sa point en une phrase courte, tels que on lance une bouteille à la mer. Ce qu’elle a accepté n’était pas spectaculaire, mais pile ce qu’elle avait envie d’entendre. Depuis, elle utilise ce service quand les idées tournent en noeud. Pour elle, ce n’est pas de la magie, mais une façon de mettre une variable d’arrêt à ses propres craintes. Pascal, lui, a annoncé la voyance par SMS durant une période de transition professionnelle. Loin d’être convaincu au départ, il s’est laissé engager un soir de doute. Ce qui l’a surpris, ce n’est pas autant le contenu du message que la manière avec laquelle cela l’a geste cogiter par une autre alternative. Une phrase, une tournure, et il a envisagé une situation qu’il écartait jusque-là. c'est pas tant une confidence qu’un coup de pouce de l'esprit. Depuis, il conserve cette porte dans sa poche, de façon identique à un instrument sobre. Certaines individus trouvent le format frustrant. C’est la situation de Lucas, qui s’attendait à une solution plus développée, plus étoffée. Son pressentiment est que symboles manquent parfois de profondeur. Mais il reconnaît que ça l’a en plus obligé à réaliser le tri dans ses attentes. À ne plus réunir une solution complète, mais une impulsion, un déclic. Il voit la voyance par SMS en aussi bien qu' un coup de projecteur, pas de la même façon qu'un diagnostic.

La première fois, c’était pour rire. C’est ce que dit Sonia, 25 ans, quand elle raconte de quelle manière elle a testé la voyance par SMS avec sa meilleure alliée. Elles étaient en terrasse, entre deux cocktails, et ont mise à l'eau chacune un problème différente. Légère, sans enjeu. Et néanmoins, réponse de Sonia l’a glacée. Pas parce que c’était grave, mais parce que ça mettait le pointe pile sur un truc qu’elle n’avait pas dit. Depuis, elle fait parvenir un SMS quelquefois. Jamais sur une touche de figures, toujours dans les créneaux où elle sent que des attributs coince. Elle n’en traite pas autour d’elle. C’est devenu personnalisé. Pour Gaël, 32 ans, on a la discrétion du format qui compte. Il est dans un environnement emploi exigeant, pas question de se estampiller vulnérable. même si il traverse des temps de non sûr, il préfère consulter par mail un problème, dans la sérénité. Pas besoin de justifier, absolument aucun besoin d’écouter une voix. Il envoie, il attend. Ce qu’il reçoit n’est pas à chaque fois extraordinairement carré, mais ça l’aide à modifier un curseur interne. Il exprimé que c’est par exemple faire appel à un GPS lorsqu'on ne sait pas encore si on doit décréter ou proroger tout droit. Ce qui revient couramment, on a la surprise. Personne ne s’attend formellement à être contaminé par un désinvolte SMS. Et toutefois, dans cette brièveté, on utilise une charge. Pas de mise voyance olivier en scène, pas d’ambiance, rapide une phrase, ou deux, qui arrivent en tant qu' un écho inattendu. Certaines individus l’effacent, d’autres la gardent finement. Camille, à savoir, garde tous indices reçus dans un dossier de son téléphone. Elle y retourne parfois, tels que on relit un journal. Elle y voit une variété de fil conducteur, des réponses qui prennent significations à la longue.